samedi 10 mai 2008

J'accuse


Lettre à la Présidente du HCIIOV.
(Agnès GABRIEL)
par Ehil CAUSA

Me permettez vous, dans ma gratitude pour le bienveillant accueil que vous m'avez fait un jour, d'avoir le souci de votre juste gloire et de vous dire que votre étoile, si heureuse jusqu'ici, est menacée de la plus honteuse, de la plus ineffaçable des tâches ?

Vous êtes sortie saine et sauve des basses calomnies, vous avez conquis les coeurs...

Mais quelle tâche de boue sur votre nom, j'allais dire sur votre règne, que cette abominable affaire. Et c'est fini, la France a sur sa joue cette souillure, l'histoire écrira que c'est sous votre présidence qu'un tel crime social a pu être commis.

Et c'est à vous, Madame la Présidente GABRIEL, que je la crierai, cette vérité, de toute la force de ma révolte d'honnête homme.

En effet, le 31 mars dernier, devant une assemblée d'experts en cagouilles informatiques, vous aviez les mots justes pour exprimer l'émotion et la sincérité de compter le nouveau membre que je devenais alors dans les très hautes instances du Handicap Club International Informatique of VocAlYse, avec le titre honorifique et très convoité de Master d'Excellence.

Mais les temps passent et les expériences divergent...

Divers menus travaux de ma part, ont pu aboutir afin de mettre à disposition de chacun de nos confrères et consoeurs, qui un DVD, qui un extrait d'interview, ou même encore un fichier photo...

Nul ne trouverait en ces faits une maîtrise, voir une expertise en matière informatique.

Et la surprise m'est apparue lors d'un message enregistré sur le blog, m'indiquant la probable radiation de mon nom sur les fiches du conseil supérieur du HCIIOV.

En ces termes,

J'accuse le simple préposé à la caméra d'avoir été l'ouvrier diabolique de l'erreur judiciaire, en inconscient, je veux le croire, et d'avoir ensuite défendu son œuvre néfaste, depuis trois mois, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables.

J'accuse le membre H. BLAISE de s'être rendu complice, tout au moins par faiblesse d'esprit, d'une des plus grandes iniquités du siècle.

J'accuse la Présidente F. CHARTON d'avoir eu entre les mains les preuves certaines de mon innocence et de les avoir étouffées, de s'être rendu coupable de ce crime de lèse-humanité et de lèse-justice, dans un but politique et pour sauver l'état-major compromis.

J'accuse la Directrice Artistique et Chef de Choeur de s'être rendus complices du même crime, l'un sans doute par passion cléricale, l'autre peut-être par cet esprit de corps qui fait du bureau de VocAlYse, inattaquable.

J'accuse le grand Ténor J-M GABRIEL, d'avoir fait une enquête scélérate, j'entends par là, une enquête de la plus monstrueuse partialité,en raison des ses relations avec la présidente, et dont nous avons, dans son rapport, un impérissable monument de naïve audace.

J'accuse les trois experts en écritures, les sieurs C. ARNAUD, L. GALLEY et A. DALLENNES, d'avoir fait des rapports mensongers et frauduleux, à moins qu'un examen médical ne les déclare atteints d'une maladie de la vue et du jugement.

En conséquence, je vous prierai de ne pas écouter toute ces voix, si belles soient elles, et de faire en sorte que je puisse exercer en toute liberté, égalité et fraternité l'exercice de mes fonctions au sein du HCIIOV. J'ai eu tant de bonheur, de fièreté à recevoir de vos mains, ce titre non seulement honorifique, mais aussi plein de projets et d'espoir pour mon humble personne.

NB : Tout ceci n'est que mascarade, Que les historiens ne se sentent outrés, que les personnes citées n'y voient aucune attaque personnelle... c'est de l'humour...

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