dimanche 15 février 2009

Oubli...

Zut, ...Zut... et reZut....
Nous venons de quitter la salle de répétition, et je m'aperçois, un peu tard, que c'est la Saint Claude.
On ne lui a pas souhaiter.
Qu'il trouve ici, toutes nos excuses, et nos souhaits.
Quand on sait qu'il est tout "jeune" marié, que la saint Claude tombe le lendemain de la Saint Valentin, que l'on connait l'artisanat de ce charmant village du jura... C'est un homme heureux ! ! !

Les orgues de Cuzco

Une petite parenthèse, plus particulièrement, pour Alain DV , parce que je sais qu'il a une passion pour les orgues et les organistes, mais les autres peuvent en profiter.

J'ai trouvé sur le web, 4 petites vidéos, tournées dans une petite église de Cuzco, Chili.
Des vidéos qui ont été tournées par Thierry Geffretin, d'Europe 1, pour le concert d'inauguration des orgues suite à leur réfection, de cette petite église de Cuzco, qui renferme 2 instruments construits au début du XVIIème siècle, ce qui en fait les orgues les plus anciens jouables aujourd'hui.
Réffection, accord, et concert par des français... ceci expliquant celà.

cliquer ICI

samedi 14 février 2009

Répétition de la saint Valentin






En ce samedi soir, nous nous sommes retrouvés pour une répétition prévue de longue date.
En raison de l'événement du jour, nous étions un groupe un peu plus restreint que d'habitude, j'y comptais un trentaine de personnes. Les quatre pupitres étaient représentés de façon égale.
Mais le travail fut fructueux. Nous avons récolté de beaux fruits. Bien gros, mais pas tout à fait mûrs.
En effet, nous avons débuté le déchiffrage de la petite messe de Rossini.
Et pour débuter, rien ve vaut le Kyrie.
On a bien avancé...
Le tout, c'est de se mettre dans la tonalité, puis dans un deuxième temps, de bien faire attention au chef, car c'est comme une fugue... des départs différés pour les différents pupitres... mais il faut arriver tous ensemble sur la dernière note... et je peux vous dire que c'est pas évident...
"Foie" de Renaud ! (et avec le métier, ça doit pas être beau à voir)
Alors, n'oubliez pas...si vous n'y étiez pas, merci de travailler quelque peu pour ne pas perdre pieds.

vendredi 13 février 2009

Leçon informatique

Afin de répondre à la demande de certain(e)s, merci de trouver ci-dessous une humble leçon pour vous permettre d'enregistrer chacune des photos du blog sur votre ordinateur dans leur définition d'origine.

1/ Connectez vous au blog (ce qui doit être fait si vous lisez ce message)
2/ Dans la partie droite de celui-ci, vous avez une photo d'ensemble du choeur, avec des vitraux en fond.
3/ Quand vous approchez votre souris sur cette photo, ce qui est une flèche, devient une main...(ceci peut aussi dépendre des paramètres instaurés dans votre session)
4/ Cliquez gauche sur l'image
5/ Une autre page s'ouvre... il s'agit de l'album web Picasa du "blog Vocalyse". Toutes les photos, depuis la création du blog, s'affichent en petit format.
6/ Cliquez gauche sur la photo choisie pour la voir s'afficher dans un format "pleine page". (Soyez patient, elle s'affiche un peu pixelisée dans un premier temps, mais devient nette après quelques secondes selon votre débit de connexion)
7/ Cliquez droit sur la photo agrandie pour voir apparaitre la petite fenêtre près de votre flêche.
8/ Dans cette fenêtre, cliquez gauche la ligne "Enregistrer l'image sous..."
9/ Alors, une fenêtre apparait. Il s'agit de choisir le dossier destination, sur votre ordinateur, de la nouvelle photo.
En général : Bureau/Mes documents/Mes images/Vocalyse
10/ Quand la destination est définie, cliquez sur "enregistrer"
VOILA ! ! !
C'est fait
Vous n'avez plus qu'à aller voir dans votre fichier pour y retrouver la photo dans son format d'origine avec sa définintion d'origine, que vous pourrez utiliser à votre bon vouloir... impression, diaporama, transformation...

mardi 10 février 2009

dimanche 8 février 2009

Haendel

L'alleluia... vous connaissez...

Y' a parfois des concerts que l'on regrette...
"j'aurai mieux fait d'aller à la piscine"
L'organiste aussi...

PLAY

samedi 7 février 2009

The glory of the human voice


Née Florence Foster en 1868 à Wilkes-Barre (Pennsylvanie), Jenkins suit, enfant, des cours de musique, et exprime le désir de partir étudier la musique à l'étranger. Comme son riche père refuse de payer ses études, elle s'enfuit à Philadelphie avec Frank Thornton Jenkins, un médecin qui devient son mari. Ils divorcent en 1902.

Elle vit dès lors en tant qu'enseignante et pianiste. À la mort de son père en 1909, Jenkins hérite d'une fortune qui lui permet d'entamer la carrière de cantatrice, que ses parents et son ex-mari avaient découragée. Elle s'implique dans la vie musicale de Philadelphie, en fondant et finançant le Club Verdi, prend des cours de chant et commence à donner des récitals en 1912.

La mort de sa mère en 1928, alors que Florence a 60 ans, lui fait gagner une liberté accrue et les ressources supplémentaires pour poursuivre sa carrière.

En écoutant ses enregistrements, il apparaît clairement que Jenkins avait un très faible sens de la gamme et du rythme et était à peine capable de tenir une note. On peut entendre son accompagnateur tenter de compenser ses variations de tempo et ses erreurs rythmiques. Néanmoins, elle devient très rapidement populaire grâce à son talent « peu académique ». Son audience l'adore, plus pour l'amusement qu'elle procure que pour sa compétence musicale. Les critiques la décrivent souvent en des termes équivoques, qui ont certainement aidé à attiser la curiosité du public.

En dépit de son manque évident de sens musical, Florence Jenkins est entièrement persuadée de son talent extraordinaire. Elle n'hésite pas à se comparer aux sopranos connues, telles Frieda Hempel et Luisa Tetrazzini. Elle considère les éclats de rire qui ne manquaient pas de se produire durant ces concerts, comme provenant de rivales rongées de « jalousie professionnelle ». Consciente des critiques, elle rétorquait : « Les gens pourront toujours dire que je ne sais pas chanter, mais personne ne pourra jamais dire que je n'ai pas chanté. ».

Les airs auxquels la « cantatrice » s'attaque lors de ses récitals, sont un mélange de grands airs du répertoire d'opéra, de Wolfgang Amadeus Mozart, Giuseppe Verdi et Richard Strauss (tous largement au-delà de ses capacités), ainsi que des Lieder de Johannes Brahms et des Clavelitos Joaquín Valverde (un succès redemandé et bissé), et de chansons composées par elle-même et son accompagnateur, M. Cosmé McMoon. Foster Jenkins porte souvent des tenues sophistiquées, dessinées par elle-même, apparaissant sur scène drapée de tulle et portant des ailes. Pour les Clavelitos, il lui arrivait de jeter des fleurs dans l'audience, secouant un éventail et exhibant encore plus de fleurs dans sa chevelure. de

Lors d'un accident à bord d'un taxi en 1943, elle découvre qu'elle peut chanter un « fa encore plus haut qu'avant ». Au lieu de poursuivre la compagnie de taxis, elle envoie une boîte de bons cigares au conducteur.

Malgré les demandes de son public pour qu'elle se produise plus souvent, Jenkins restreint ses rares apparitions à quelques endroits favoris, et son récital annuel se tient à la salle de bal du Ritz-Carlton à New York City. L'auditoire de ses récitals est toujours limité à son fidèle club féminin et à d'autres hôtes choisis - elle supervisait elle-même la distribution des billets tant convoités.

À 76 ans, Florence Foster Jenkins cède finalement à la demande de son public et se produit au Carnegie Hall le 25 octobre 1944. Le récital est tant attendu que les billets pour l'événement sont vendus des semaines à l'avance.

Florence Foster Jenkins meurt un mois plus tard, d'une crise cardiaque.

Certains prétendent que les 32 ans de sa carrière de cantatrice sont un canular élaboré, ce qui semble en contradiction avec d'autres avis alléguant que sa mort, après la performance du Carnegie Hall, est le résultat de la dérision dont elle fut l'objet de la part des critiques. Quoi qu'il en soit, aucune de ces deux théories ne peut être prouvée. Tout indique que Florence Foster Jenkins est morte avec le sentiment de plénitude heureuse et confiante avec laquelle elle traversa sa vie d'artiste.

En cliquant ici, vous aurez son interprétation la plus connue.

lundi 2 février 2009

Article paru dans l'union

« Carmina Burana » : un vrai « coup de chœurs »


Pascal Monat, Dominique Bourgeois, Bernard Boulanger et Christian Demongin : quatre structures pour un même chœur.
Trois sociétés musicales locales et une classe du collège Terres Rouges se préparent à interpréter « Carmina Burana » au Millesium. Un projet colossal.

PLUSIEURS associations locales préparent un spectacle de grande envergure.
L'œuvre maîtresse de Carl Orff, « Carmina Burana », sera présentée au Millesium par l'ensemble Les Cenelles, le Chœur Vocalÿse, la Société philharmonique de Champagne et la classe à horaires aménagés de musique (CHAM) du collège Terres Rouges, le dimanche 19 avril à 16 heures.
Un événement rarissime, dû au soutien actif des villes d'Aÿ et d'Épernay, ainsi que du conseil général de la Marne.
Le projet ne date pas d'hier. C'est en 2007 que les trois associations ont lancé une organisation commune pour cette forme de concert, laissant les protagonistes sur un pied d'égalité. « Les trois associations, installées sur le même territoire, connaissent et reconnaissent le travail de l'autre », explique un organisateur.
Pour la classe CHAM, qui n'est pas une association, les choses ont été un peu différentes puisqu'elle vient tout juste d'être créée. « Cependant, ayant les uns et les autres de très bonnes relations avec l'École de musique intercommunale d'Épernay, il nous a semblé indispensable de proposer à cette nouvelle structure la possibilité de rejoindre notre organisation », explique un membre du groupe.
Le fruit de ces relations et échanges a permis, petit à petit, d'imaginer le projet « Carmina Burana ».Les effectifs sont à la mesure des ambitions : 4 structures, 90 choristes adultes, 3 solistes, 30 choristes enfants, 2 pianistes et 300 heures de répétitions par groupe ou en commun. « Nous espérons que ce projet sera une réussite, tant en terme de fréquentation publique qu'en terme de qualité artistique. » Si tout le monde connaît bien le chœur Les Cénelles, la Société philharmonique de Champagne et le chœur Vocalÿse, il n'en est pas de même avec la CHAM du collège Terres Rouges. Créée à la rentrée 2008, elle permet à des élèves - de la 6e à la 3e - de poursuivre l'enseignement général et un enseignement musical spécialisé, dispensé par l'école intercommunale de musique dans le cadre scolaire.Le temps consacré à la formation vocale et musicale est de 5 h 30 hebdomadaires.Tout élève entrant en 6e peut intégrer la CHAM. Le recrutement s'effectue sur des tests musicaux simples, ne faisant pas obligatoirement appel à une pratique musicale antérieure. Le principal critère reste la motivation de l'élève, ses aptitudes vocales, auditives et musicales. Indispensable pour « Carmina Burana ».

Jean Batilliet