dimanche 20 mai 2012

Amitiés éternelles



De Lucien G, au nom des membres de VocAlYse

 
Comme Denise et Jean Gosset qui nous ont quittés successivement il y a peu de temps, Ginette et Christian sont entrés à VocAlŸse dès sa création en 1991.
Pendant plus de vingt années, ils se sont continuellement engagés l’un et l’autre dans la  vie de notre petite communauté en participant activement aux réunions destinées à en assurer le bon fonctionnement.




Pendant plus de vingt années, Christian s’est employé, sans que l’on ait eu à le lui demander, à un méticuleux travail de collecte et de classement de tous les documents qui constituent aujourd’hui la mémoire de VocAlŸse : photos, faire-part, programmes, articles de presse et témoignages divers relatant les activités musicales et la vie sociale de notre chœur.
En plus de cette  grande disponibilité, Christian était particu-lièrement apprécié au sein du groupe pour sa remarquable gentillesse, pour sa grande modestie, pour son côté pince sans rire. Il ne se lassait pas d’entendre Dominique lui dire : « Christian, tu sens bon et tu as une bien jolie cravate ! » Avec Ginette, il aimait partager tous nos moments de convivialité.
Pour avoir entretenu pendant des années avec Ginette et Christian, au-delà de notre commune appartenance à VocAlŸse, d’excellentes relations amicales, j’ai pu apprécier ses grandes qualités de cœur et mesurer le plaisir qu’il prenait à être entouré de ses amis.
Mais l’image qui restera gravée dans la mémoire de tous ceux qui l’ont côtoyé de près est celle d’un grand-père tendre et généreux qui vouait à son unique petite-fille un amour sans limites. Avec elle, il partageait de longs et intenses moments de vie et d’échange dans une remarquable complicité.
A Ginette, son épouse, à Isabelle sa fille, à Théa sa petite-fille tant aimée et tant choyée et à toute sa famille, je veux dire, au nom de tous les membres anciens et actuels de VocAlŸse, le plaisir que nous avons éprouvé  pendant toutes ces années à fréquenter un homme si simple et si agréable et  la peine qui est la nôtre aujourd’hui de le perdre.
Il est parti comme il a vécu, sans bruit … et, dieu merci, sans avoir eu à affronter autant de souffrances physiques, que le laissait redouter l’horrible mal qui l’a emporté avec une si cruelle rapidité.

1 commentaire:

Agnès a dit…

Tout est dit merci à Lulu pour ce magnifique hommage et à toi pour les photos.
Christian nous manque déjà!