Toujours un grand moment que cette répétition de rentrée. La rentrée de l'année civile. C'est à dire qu'il faut bien sûr, nous laisser un peu de temps pour que chacun et chacune s'embrasse, se serre la main en s'échangeant ses vœux.
Ce qui fut fait. Et pour une fois... pas trop de retardataires, ni même de manquants, les chaises pleines étaient nombreuses, sans doute le résultat du "fruit de saison", la bonne résolution.
Chacun aura remarqué l'absence du vénéré chef. Au grand regret de tous, mais pour nous réapparaitre en meilleure forme, elle était restée aux soins cette semaine encore.
Remplacée parmi nous, pour nous diriger par Françoise.
Françoise, que je tiens ici même, à féliciter et à remercier. Parce que, tenir une bande de ... comme nous, cela demande de l'audace, de la persévérance, du dynamisme, du courage, et j'en oublie... avec une pointe d'humour et un grand cœur.
Et de tout cela, elle en était bien pourvue ce soir, ... comme à chaque fois.
En tout état de fait, nous avons remis la main à la pâte ou plutôt nos cordes à la partition.
Pour la partition, il s'agissait du N° 22 de Carmina Burana (Tempus est iocundum), vu dans le détail. Et ça n'était pas si facile, car chacun des pupitres est dédoublé. Soit un total de 8 voix. Un travail de titans. Preuve de patience du chef occasionnel, mais aussi de la part du pianiste, David, qui, encore une fois, a tenu son rang à merveille.
Alors, n'oubliez pas...si vous n'y étiez pas, merci de travailler quelque peu pour ne pas perdre pieds.
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